• FRENCHIES AND AMERICANS
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 Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]

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Bridget S. Ryan

Bridget S. Ryan


♛ Arrivée à Amsterdam : 30/01/2011
♛ Age du perso : 31
♛ Échanges : 3
♛ Avatar : Alexis Bledel



Diary
♛ Statut: Célibataire
♛ Pour RP: Disponible


Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] _
MessageSujet: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitimeDim 30 Jan - 14:53

♛ Bridget Sacha Louise Ryan



• Date de naissance :
12/novembre/1992
• Ville de naissance :
Paris
• Age :
18 ans
• Études :
Cursus suivi (voir liste):
Industrie alimentaire
• Groupe :
Fenchies ou Americans ?
Frenchies

Le voyage en avion jusqu'à Amsterdam vient de prendre fin et vous sortez tranquillement, ayant hâte de découvrir la ville dans laquelle vous allez passer un an ou plus de votre vie. Un journaliste s'approche de vous dès la descente du gros engin, un micro devant la bouche. Il semble faire un reportage sur l'échange entre les deux universités et vous êtes interviewé.

« Amsterdam, nous voila enfin arrivé après un si long voyage. Qu’est ce que je peux avoir hâte !! Au fond je sais que se ne sera pas facile au début, entre ma timidité et mon foutus caractère. Mais je ne peux pas changer la nature, après tout je suis comme se suis et si on ne m’accepte pas telle alors qu’il ait se faire voir. Je suis prête à faire des efforts mais si on ne me rend pas l’appareil, ça risque de chauffer. Après tout faut pas pousser le bouchons trop, n’est ce pas MAURICE !!! »

A ma petite réflexion intérieure je souriais. Décidément mon humour est vraiment limité, il ne peut faire rire que moi. Je comprends alors un peu mieux pourquoi mes amis sont complètement désespère. Apres cette petite pause reprenons le cours de ma réflexion la ou on s’en est arrêté.

« Pourtant c’est certains il y aura bien quelqu’un avec qui je m’entendrais bien. Je ne suis pas a ce point insociable. J’aime juste les gens franc et simple. Oh et puis après tout, on verra comment sa se passe, je ne suis pas la pour les relations quoique un peu… Enfin bref je suis surtout la pour découvrir une autre culture ou plutôt deux autres cultures : la culture hollandaise et américaine. »
Je levai mon regard et c’est la que je vis le journaliste se dirigeant vers moi

« Non ce n’est pas possible, je rêve, me dis pas qu’il va venir m’interroger. »

Je me retournai et ne vis personne derrière moi. Pas de chance, j’allais me faire aborder par un journaliste et j’allais devoir lui répondre. Je me préparai alors mentalement, contrôlant ma respiration. Me connaissant j’allais rougir comme une tomate et j’allais bégayer au moins minutes avant de réussir à articuler correctement. Pourquoi suis-je si timide ?

Il s'avance lentement vers vous et vous tend le micro, tout en vous expliquant le but de son reportage. Bientôt, il se met à poser les premières questions. C'est trop tard pour vous, il va falloir que vous répondiez, vous n'avez plus le choix !

JOURNALISTE : Tout d'abord, expliquez nous pourquoi vous avez voulu participer à cet échange et ce que cela va vous apporter selon vous.


VOUS :


Je regardai le jeune homme, le sourire aux lèvres.
« je… je… »
Pas possible, sa se passe comme je l’avais prévus. Je fermai alors les yeux et respira un grand coup. D’ailleurs c’est tout en gardant les yeux fermé que je réussis enfin à lui dire
« Bonjour, Je suis ici pour découvrir du pays mais aussi de nouvelle culture. J’ai toujours aimé voyager, pour dire vraie je voyage avec une association depuis que j’ai 16 ans. On travail 4 heure par jours et le reste du temps on découvre le Pays. Je me suis donc dis que ce voyage est une autre occasion de sortir et de prendre un peu plus indépendance. Lors de ces voyages je me découvre, j’apprends énormément car chaque personne que vous rencontrez peut a sa manière vous apprendre une leçons de vie. Vous devez me trouver bête mais je pense que c’est en voyageant que l’on grandit.»

JOURNALISTE : Comment était votre vie dans votre université ? Va-t-elle vous manquer pendant un an ?

VOUS :
« « Ma vie ! Comme beaucoup de monde, je suivais le train train quotidiens. Heureusement pour moi que mes études me plaisent, que j’ai des ami(e)s , de la famille sur qui compter et puis des activités qui parfois me changent la vie. Vous savez je prends du plaisir à aller en cours et a écouter mes professeur. Ce sont des personnages sage qui ont des connaissances si immenses. A force de m’entendre vous devez vous dire que je suis le genre d’intello qui passe sont temps dans ces livres, du moins c’est une supposition car à vrai dire je ne peux pas lire dans votre tête malheureusement. En faite j’aimerais parfois pouvoir lire dans la tête des gens. Imaginez-vous ce que vous pourrez y découvrir. Les gens si sont discret sur leur vie, si renfermé c’est blasant à force, vous ne trouvez pas. Et puis au moins je pourrais aussi de cette manière savoir enfin ce que le gens pense vraiment de moi. » »

JOURNALISTE : Cette occasion est pour vous une occasion de voir ce qui se fait dans le sexe opposé au votre dans un autre pays. Etes-vous plutôt du genre à faire beaucoup de rencontres ou à rester dans votre coin ?

VOUS : « « Sa c’est vous qui le dite. Ce voyage est une occasion de découvrir du monde que se soit de mon sexe ou du sexe opposés. J’aime découvrir les gens, leurs habitudes, leurs gouts, il y tant de chose à connaitre sur eux que en réalité malgré ce que vous vous imaginez et malgré le temps que vous pouvez passer en leur compagnie, vous ne les connaissez jamais en totalité. Enfin passons, cote garçons, je ne suis pas le genre de fille à collecter les mecs, sa c’est réservé aux garces. Je suis loin d’être comme elle, et puis même physiquement et mentalement je n’ai pas autant de succès qu’elles peuvent en avoir.
Vous l’avez certainement remarqué je suis un peu timide, puis avec un peu de temps je m’habitue et toute ma joie se libère, mais sa prends parfois beaucoup plus de temps que se que j’aurais aimé. Je profite alors dans ces moments de plénitude avec moi-même, de la vie, des amies, la timidité s’en va alors comme elle est arrivé. Dans ces période dirais je, la honte, le regard ou les dires des autres ne me touche guère!!! Je me fous royalement d’être une honte ou pas, ce que je fais, je le fais pour moi, j’agis comme j’ai envie d’agir et même si cela dérange certains. Bien sur, le moment d’euphorie passé, je me sens bête et stupide mais je ne le regrette pas. Au final ma timidité finis toujours par me rattraper !! Je crois que je vous ai répondus à coté non ?»
»

JOURNALISTE : D'ailleurs, parlez nous un peu de vous, de votre caractère, de votre façon d'être au quotidien avec les gens, etc qu'on sache un peu plus à qui on a affaire.

VOUS : « « Je pense que je me suis déjà pas mal dévoilé. Donc réfléchissons aux détails dont je ne vous ai pas encore parlé. Sa y est sa me viens.
Je suis quelqu’un qui n’aime pas se retrouver face à une difficulté. En faite je dirais même que quand je n’arrive pas à faire les choses je m’énerve, surtout dans mes études et au cheval. Je me rappellerais toujours de mon prof d’équitation. Il s’appelait Olivier et me faisait souvent la leçon. Pour lui mon comportement était inapproprié et je le conçois totalement. Mais si je m’énerve c’est parce que j’ai peur de ne pas réussir à surmonter la difficulté mais aussi parce que j’ai l’impression de ne pas être a la hauteur. Ma vie quotidienne est faite de haut et de bas, parfois je suis bien dans ma peau et dans ma tête, parfois une simple petite difficulté peut faire s’écrouler tout se dont sentiments au profit de la peur et du manque de confiance Ces périodes m’agacent, je ne supporte pas de me voir dans ces moments, alors j’apprends à vivre avec et a me contrôler.
Voila que crois que j’ai dis des choses que je n’aurais pas du dire parce que sa donne l’impression que je suis négative concernant ma personne. En faite ce n’est pas le cas, je suis juste réaliste et franche. C’est un de mes gros problème, les gens n’aime pas trop sa, je me vois comme que je suis, je ne me leurre pas seulement on se voit toujours moins bien que ce que l’on a. Enfin passons, je vais plutôt en venir à mon bon coté. On peut dire que je suis une bonne amie. En faite je suis a l’écoute, et j’adore aider mon prochains. Volontaire, souriante, je n’aime pas voir les gens triste alors j’essaye de leur rendre leur sourire. Cependant j’attends qu’on me rende l’appareille. Surtout qu’avec les encouragements des mes amies, malgré mes hauts et mes bas surtout je ne baisse jamais les bras, je me bats jusqu'à atteindre mon but. Je surmonte la difficulté et personne ne peut m’arrêter. Tant que l’on m’encourage je pourrais soulever des montages. Tant que les chevaux seront la, tant que je serais ce que je veux, j’arriverais toujours a arriver la ou je l’ai décidé ».
»

JOURNALISTE : Voilà qui est bien intriguant. Je suis sûr que tout cela a été forgé par une histoire hors du commun. Pouvez-vous nous en parler un peu ? Avez-vous eu une enfance spéciale (jusqu'à l'entrée à l'université) ?

VOUS : « « Une enfance spéciale. Non pas vraiment. Je suis fille unique, mes parents sont divorcés, ma mère est a nouveaux en couple et mon père il a disparus dans la nature. Je me souviendrais toujours de lui malgré que le fait que je trouve qu’il se comporte comme une ordure. Il a fuit pour ne pas avoir à assumer ces responsabilités et je lui en veux, du moins c’est ce que je pense. Cependant quand j’étais petite, le lendemain qu’il soit parti et les jours qui ont suivis, je collais mon nez à la fenêtre et y restais des heures à l’attendre. J’espérais qu’il reviendrait me chercher. En effet quand j’étais petite j’étais proche de lui, pour moi comme pour toutes les petites filles je suppose, il était mon héros. J’avais 8 ans et ce manège dura 1 an. L’année qui suivis, je demandai finalement a ma mère si c’était de ma faute que papa soit partis et qu’il ne revienne pas. Ma mère fut stupéfaite de ma question et sortis tous les arguments possible et inimaginable pour me convaincre que ce n’était pas le cas. Malgré sa je me sentais toujours responsable. C’est en grandissant que j’ai appris à oublier et a ne plus me faire de soucie. J’appris aussi à accepter le fait que se n’étais pas ma faute et que je ne saurais certainement jamais la réponse. Chaque année, le jour du dépars de papa je demandais a maman les raisons, et jamais elle ne m’a répondus. Elle plongeait dans un silence profond jusqu’au lendemain. Jamais je n’ai compris ce comportement alors vers 14 ans j’ai arrêté de demander. J’ai vécus sans lui, avec elle, j’ai grandis chaque jours en essayant de me rappelle son visage, son parfum. Malgré tous je ne veux pas oublier mon père. Il est ma chair alors même aujourd’hui j’essayai chaque jours je repenser a lui et a une anecdote tel la fois ou il m’emmena faire du cheval. C’était notre moment a nous deux et si je continue aujourd’hui et que je prends plaisir a continuer, c’est d’une manière ou d’une autre pour être proche de lui.» »

JOURNALISTE : Et quand avez-vous décidé d'entrer à la Sorbonne pour les frenchies ou à Yale pour les Americans (remplir correctement la question) ? Pourquoi avoir choisi cette université d'ailleurs ?

VOUS : « Donne question ! Si j’ai choisi de faire mes études à la Sorbonne c’était pour être prés de ma mère et de son copain. J’ai fais deux ans de prépa a Montargis (2h de paris en voiture) et pour être franche, ce fut vraiment très dure pour moi mentalement. Etre loin de ma famille, être loin de la ville, à la fin de mes 2 ans j’avais besoins de retrouver ce monde qui me procurait tant de plaisir. De plus la Sorbonne est une école très réputé. »

JOURNALISTE : Côté coeur, ça a toujours été mouvementé ou plutôt calme ? Expliquez-vous quelle est votre situation actuelle également.

VOUS : « « Cotés cœur, ce n’est pas la foule. J’ai eus mon premier copains a 14 ans mais sa ne dura guère longtemps. On s’était rencontré a une soirée, sur paris. Le problème c’est qu’il était sur paris que pour deux semaines. En effet il habitait la Bretagne, alors pendant deux semaine on eut une amourette et puis il est partis et sa en resta la. Par la suite je ne rencontrai que des gros cons.
Pour moi l’homme est devenu un prédateur plutôt qu’un être capable d’aimer. J’ai connue trois garçons différent depuis mes 14 ans jusqu'à aujourd’hui et a chaque fois, il ne voulait que du cul, alors autant vous dire que vu mon caractère assez impulsif je les ai vite jeté. Je n’aime pas qu’on joue avec moi, je n’aime pas qu’on décide pour moi, je n’aime pas qu’on me force, alors si on s’en prend a moi ou qu’on essaye d’atteindre a mes liberté je me révolte. Les garçons sont bien plus agréables en ami que comme petit ami. Avec cela n’allez pas penser que j’aime les filles. Au contraire, les filles sont des peste même en tant qu’amie j’ai du mal avec elle. En faite j’attends le prince charmant. J’attends le jeune homme qui m’aimera pour ce que je suis, j’attends celui qui fera chavirer mon cœur au point que ma timidité, mon caractère en soit touché»
»

Sur ces derniers mots, le journaliste vous remercie d'avoir bien voulu lui répondre et s'excuse de vous avoir pris votre temps. Il vous souhaite un bon séjour et s'éloigne progressivement, se dirigeant vers un autre étudiant qu'il va aller interviewé également.

Jaimerais juste ajouté un détail important, que je ne peux me résoudre a dire au journaliste. Je le fait donc ici, veuillez m'en excusez.
Le journaliste une fois partis, me retrouvant seule, je me remémorai une question. Pourquoi avoir choisir de suivre le projet ?
Il y a en faite une raison que je n’ai pas évoquée, étant bien trop secret à mon gout. Cela remonte à quelques mois au retour des vacances. J’étais partis en Grèce et j’y ai fais la rencontre de pas mal de gens. Seulement ces vacances qui c’était génialement commencées, se terminèrent très mal.

Il ne me restait plus que deux jours avant de devoir rentrer, alors avant de nous séparer nous avions décidé de fêter notre amitié et d’en profiter pleinement. Avec Lena je n’étais énormément rapproché. Une grande blonde, très jolie mais aussi très gentille. Coureuse d’homme, fêtarde, toujours souriante, elle cachait cependant bien des secrets tel que a sont jeune âge elle était déjà mère d’une fille de 1 ans : Elise. Ce soir se fut ces parents qui s’en occupèrent. Quant a nous deux, accompagné de deux autres amies nous avions pris la voiture pour rejoindre Eric a une soirée. Eric est un beau brun avec lequel je sortis et dont je tombai très amoureuse. Ce soir la, fut une tuerie, on n’avait jamais passé une aussi bonne soirée malgré le fait que aucune de nous avait bu. Lorsqu’on on rentra la maison, on eut un accident de voiture assez grave tout cela a cause d’un homme bourrée. Lena s’était sacrifiée pour me protéger. Elle eut juste le temps d’arriver a l’hôpital, de voir une dernière fois ces parents ainsi que de me faire promettre de s’occuper de sa fille avant de rendre l’âme. Nos deux autres amies étaient mortes sur le coup. Je suis donc la seule survivante de ce tragique accident et je me sens affreusement responsable de la mort de Lena. J’ai donc le lendemain de sa mort, fait mes bagages et quitter la Grèce. J’abandonnai Eric, ainsi que la famille de Lena mais le plus important est que je ne tiens pas ma promesse. J’avais peur, peur des remontrances de ces parents, peur de faire aussi du mal à sa fille et peur du comportement d’Eric une fois qu’il aurait après le drame. Aujourd’hui Eric et les parents de Lena s’occupe de la petite, quand a eux, ils attendent mon retour en Grèce désespérément. Eric lui est toujours amoureux de moi et espère pouvoir me retrouver afin de me faire retourner en Grèce et enfin affronter la dure réalité. J’ai l’impression qu’avec sa mort, Lena a emporté une partie de moi. J’ai perdus une amie de taille, j’ai aussi perdus l’amour d’un homme et comme a mon habitude, tout comme mon père j’ai préféré fuir, oublier.


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Dernière édition par Bridget S. Ryan le Dim 30 Jan - 16:11, édité 2 fois
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Emily K. Evanson

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MessageSujet: Re: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitimeDim 30 Jan - 15:15

Bienvenuue :D
Bon courage pour ta fiche ^^
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Bridget S. Ryan

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MessageSujet: Re: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitimeDim 30 Jan - 15:44

Merci!!!
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Nathan C. Pride

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MessageSujet: Re: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitimeLun 31 Jan - 12:32

Bledel est juste trop jolie ... Oo hearty

Bienvenue parmi nous, en tout cas.
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Bridget S. Ryan

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MessageSujet: Re: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitimeLun 31 Jan - 12:46

Merci!!!!

Bledel est tout simplement magnifique
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MessageSujet: Re: Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé]   Fuire le passé est plus aisé que de l'affronter[terminé] Icon_minitime

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