♛ CARACTÈRE & PHYSIQUE

Je suis... belle. Que dire d'autre ? Je ne me vante pas, non. Mais si je suis aussi populaire et demandée, il n'y a pas à trouvé d'autre explication que ma beauté, mon charme, mon charisme. Je suis grande et mince, on peut dire que j'ai un corps de mannequin je ne dirait pas le contraire. Plus précisément, maintenant : Mon visage est assez fin, seul mon front est tout juste large. Mes cheveux sont bruns, pour le moment, car il m'arrive de me teindre en blonde ou une autre couleur plus claire que ma couleur naturelle. J'ai des yeux marrons, un peu plus foncés que mes cheveux.. ils sont presque noirs. J'ai un petit nez en trompette, mes oreilles sont percées et mes lèvres sont fines.

Le mot qui me colle à la peau, qui me va le mieux, ce serait : fêtarde. Je le suis. Et les fêtes passent bien avant les cours pour moi. Je ne suis pas une intellectuelle non plus, même si je me défends à peu près en cours... mais on ne peut pas dire que je fasse tout pour avoir de bons résultats. Je suis très demandées par les garçons, aussi. Ce n'est pas un problème, ça me permet d'avoir à tout moment un copain. Même si mon image, au final, n'est pas super, je profite de ma vie et je la croque à pleine dents. Je suis aussi quelqu'un de franche, qui ne se laisse pas du tout marcher sur les pieds. Quelques fois il m'arrive d'être quelques peu manipulatrice, juste pour obtenir ce que je souhaite. Ce qui compte le plus au fond, c'est qu'au final j'obtienne le résultat voulu. Mais derrière tout ça je peut être gentille avec ceux que j'aime, ceux en qui j'ai confiance.. tout dépend avec qui je suis !

♛ HISTOIRE

Mes parents étaient réellement amoureux. Ils s'aimaient, malgré que leur couple soit certainement le plus médiatisé de Paris. Je suis née de cet amour, moi, Maëlle. Peu de temps après ma naissance, ma chère mère appris qu'elle était devenue stérile. Je ne me suis jamais demandée pourquoi, ça ne m'avais jamais intéressé. Ma mère, sachant qu'elle n'aurait jamais un autre enfant que moi se mit en tête qu'elle devait absolument faire mon bonheur. Et elle passait tout mes caprices, j'avais toujours ce que je voulais quand je le voulais. Elle m'aurait offert la lune si je lui avais demandé, c'est dire ! J'appris de cette manière que je pouvais tout avoir simplement en suppliant mes parents. Alors je me dit qu'une vie ou tout le monde cèderait à mes caprices et me donnerait ce que je voudrais.. je me disait que c'était une vie de princesse, la vie dont je rêvait. Être au centre de l'attention me plaisait tout particulièrement. J'ai toujours adoré que l'on me couvre de cadeaux et que l'on me pouponne.

Vers quatorze ans, j'étais encore la princesse à ma maman. Mais tout changea en un sens. Avant j'étais un petit ange à l'école, alors qu'à l'adolescence, je me transformait en petit diable - si je puis dire. Je fréquentais les garçons, certains même que je n'aurait jamais du fréquenter. J'étais demandée de plus en plus, je changeais donc de petit copain toutes les semaines. Je sortais tout le temps avec mes amis, comme si l'école n'existait plus. J'allais en cours simplement pour voir mes amis, et mon petit copain du moment. Tout ça se voyait dans mes notes, mais ce n’était pas grave, mes parents avaient le pouvoir de me faire rester dans cette école pour fils et fille de. J'avais réussit mon coup. Tout le monde voulait m'approcher, devenir mon ami ou plus. Et mes chers géniteurs en avaient tout bonnement marre. Ils ne savaient plus quoi faire.

Vers dix-sept ans, je me décidait d'arrêter toutes ces idioties. De commencer une vie "normale", comme les autres. Sans changer de copain toutes les semaines, me trouver des vrais amis. Et je trouvait un garçon avec qui je restais durant six mois. Tout était parfait, je travaillais dans la mode avec ma mère, j'étais posée. Mais tout ça ne me convenait plus au bout d'un moment. Je voulais bouger, m'amuser, profiter de la vie. J'avais comme l'impression d'être enfermée dans une vie que je n'avais jamais voulu, au fond. Je quittait donc celui que j'aimais, juste parce que je voulait m'amuser et non me caser. Et mes parents, voyant qu'ils n'arrivaient plus à me contrôler, m'envoyèrent à Amsterdam, comme de nombreux élèves de mon école, juste pour que je voit d'autres choses et que je me calme. Ils n'arriveront pas à leurs fins, je refuse d'être une petite fille sage. Au contraire, je vais encore plus profité d'être loin d'eux pour faire la folle !